Publié sur Facebook le 11 novembre  2019

Le climat ne s'améliore pas à Brive : Une banderole en farandole sur le phare en Brive condamnée par le pharisaïsme de son élu phare … mais les auteurs de la Foire ont su brandir le message plein ... phare...


Cédric n'est pas un triste Sire et dans ses livres le climat est plutôt chaud ...




«Le talent d'Irène Frain, c'est la vie, le temps jamais perdu ni vaincu.» Yann Queffelec
En février, Irène publie le roman très attendu " La FORÊT DES 29" Le parcours de Djambo, précurseur, en 1485, de l'écologie moderne, et de ses adeptes: en 1730, 363 d'entre eux, hommes, femmes, enfants, donnèrent leur vie pour les arbres...


Cécile Hennerolles, serait-elle une congénère picarde celle à qui il faut dire des mots tendres ….


un œil sur le climat et le sourire pour tous !


la pause avec la R12 qui nous permettait de dormir à l'arrière et de faire la grande boucle de 36000 km depuis Montréal
jusque l'Amérique Centrale. Sans immatriculation discrétion oblige ...
une vue en entrant dans la salle d'expo
le sort de notre Planète est entre nos mains







Du côté de chez Fred … mais ici on est pas A2 …


C'est très mode de s'occuper du climat !


joyeux drilles pour un climat qui brille


Michèle FITOUSSI : l'élue du premier prix Chadourne, une récompense briviste créée cette année









Queffelec ? mais il défend le climat !!


l'inconnue au grand sourire ...


Alexandre Labruffe : " Je ne suis que le greffier de la réalité"
"Chroniques d’une station-service" le premier roman d'Alexandre Labruffe paraît aux éditions Verticales. L'auteur nous parle avec sérieux et humour de nano-récits, de l'importance de ce qui n'est pas écrit, de station-service comme lieu de notre amnésie et de l'immobilité comme résistance au monde.
Dans ce premier roman, Alexandre Labruffe met en scène Beauvoire, pompiste à Pantin, qui gère via les écrans de contrôle les allers et venues des automobilistes et tient la caisse ou le bar. Scrutant et commentant l'apparente inertie du quotidien, les discours et les attitudes des clients, cet observateur extralucide livre une réflexion mêlant humour et gravité sur l'espace périurbain et sur la société contemporaine.
Extraits de l'entretien
"L’environnement fait d’incertitudes est essentiel à cette station-service : sans incertitudes il n’y aurait pas de fiction. Cette station-service qui flotte au milieu de ce paysage périurbain, est le lieu de l’incertitude, le lieu de l’incertain, des possibles et des fantasmes. "
"J’ai écrit ce roman en quatre mois, nuit et jour. Beaucoup de romanciers se disent dépossédés de leur roman à leur sortie, mais moi, je suis complètement possédé par mon roman, par mes histoires. C’est un roman écrit par fragments numérotés, avec des chapitres qui peuvent être très courts. C’est une joyeuse pluie de confettis, portée par beaucoup de nano-fictions et de nano-récits. "

"Mon personnage regarde le monde passer, c’est un monde qu’il ne comprend pas, ou qu’il comprend trop bien, on ne sait pas trop. Il se considère comme le dernier des humains, échoué sur une terre peuplée d’étranges créatures, mais finalement c’est peut-être lui l’alien. Il est en position contemplative et immobile. Je voulais travailler la question de l’immobilité comme une possible résistance au monde. "
"J’ai un rapport très particulier aux chiffres : je les adore et je les déteste en même temps. De même, j’adore les mots, alors j’ai voulu réunir les deux. Je déteste les chiffres et ce qu’ils peuvent nous imposer. Quand j’ai numéroté les chapitres j’avais deux ambitions : je voulais sortir du magma du récit, car j’ai une allergie envers les formats longs du roman, et j’ai voulu faire des bulles de phrases, faites de poésie, d’ironie, d’aphorismes. Ensuite, je suis parti du principe d’un faux scénario, tout est faux dans ce roman. Enfin, Je voulais sortir de la justification qu’impose une histoire : ce qui est important, c’est aussi ce qu’on n’écrit pas. "
"La station-service c’est d’abord le lieu de notre amnésie, de notre inconscience et de notre toxicomanie. Non seulement on y consomme de l’essence, sans se rendre compte du saccage que cela représente, mais aussi de la junk food, et tout un tas de produits de consommation. Notre pompiste se considère comme le principal dealer d’un monde de consommation qui tourne en rond. La station-service porte en elle les germes de la fin du monde, mais, avec ce roman, je voulais annoncer qu’une autre fin du monde était possible."


Total K.O. de Laurine Lavieille
L'ombre recule et s'évanouit.




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