Chambord : un hectare de toitures et pas mal d'ouvertures |
Le mur à ressort : dernier sort pour un matelas un peu mûr . |
La cathédrale d'Amiens : sommet du gothique |
Les chênes austraux donnent de grands glands presque ronds : puisqu'on vous le dit ! |
A Rumigny : devant ma nième première maison : j'avais si froid que je dormais sous le matelas. et puis on se réchauffait avec Alain par douze kilomètres en courant pour aller retrouver la route de la soie dans l'atlas russe de la fac de géo d'Amiens juste avant ne ne pas la faire. |
Ault : sa falaise, son soleil, sa plage, ses galets. |
Au pied de mon arbre, une rencontre gallinastique d'ordre indéterminé. |
Goutte d'eau pour relief chou hydrophobe : voir ici pour plus d'explication. Un extrait pour vous amener ici dans cet ici ( ici avant, est-ce clair ?) : " Il y a déjà 200 ans, de grands esprits comme le Français Pierre Laplace, l’Anglais Thomas Young ou Goethe en Allemagne, se sont demandés pourquoi les gouttes, avaient une forme sphérique et ils ont compris que c’était lié, comme on l’a vu, à l’attirance mutuelle des molécules entre elles. Goethe a ainsi écrit en 1807, deux ans après les idées de Laplace et Young, un roman intitulé Les Affinités Électives, où il met en scène ces théories. Au début du roman, trois personnages dialoguent. Le premier explique aux autres que l’eau, l’huile et le mercure, malgré leur grande différence, ont un point commun : ils résistent à la séparation, comme s’ils avaient un principe d’unité, une force qui les maintient en cohésion. Je peux évidemment séparer des gouttes d’une flaque, mais, dès que je cesse de les écarter, ces corps se rassemblent aussitôt. Arrive un personnage féminin, Charlotte, qui est en quelque sorte une expérimentatrice : dans notre enfance, dit-elle, nous nous amusions à séparer des bouts de mercure (vif-argent) en globules, pour les regarder ensuite se rassembler. Enfin, un troisième personnage, le Capitaine, que nous pourrions appeler le « théoricien », en tire des conclusions : cette attraction entre les petits grains de matière qui constituent l’huile, l’eau, le mercure, rendue possible par la fluidité, se manifeste nettement et toujours par la forme sphérique. Et il ajoute une phrase assez surprenante, que j’appelle le « théorème de Goethe » et qu’on essaiera de démontrer : « La goutte d’eau qui tombe est ronde ». A priori, on se dit que c’est faux, à cause du mouvement. Nous savons tous, en effet, que l’air provoque une friction, et nous en déduisons que cette friction déforme la goutte. À partir de là, beaucoup d’expériences ont été menées au XIXe siècle, en particulier par le Belge Joseph Plateau. Des expériences qui ont été popularisées plus tard par un autre belge, Hergé, qui montre le capitaine Haddock, en route vers la Lune, donc en apesanteur, être frappé de stupeur devant du whisky échappé du verre et prenant une forme parfaitement sphérique. |
Ault vu depuis Onival au crépucule d'un jour avalé par la falaise. |
Le haut de la bas-ilique d'Albert, où dort l'or de l'église bysantine |
Un coin de CPN corrézien perdu dans l'histoire picarde. |
Le chapiteau des amis sous le chapiteau de Longueval |
Un coin d'Irlande qui n'est pas dans la lande, juste du à l'ire des armes. |
Sur les piliers du monument de Thiepval, la liste des 73000 soldats britanniques dont les corps ne furent jamais identifiés. |
Le caribou et la cornemuse pour un hommages aux poilus de 14/18 |
Si l'Ecosse à son chardon, la Picardie a sa rose : de toutes façons tout cela reste très épineux |
Hôtel de Sully by night : une photo d'essai pictural |
Il était 11 h 11, ce 11/11/11, entre Beauce et Loire, le château de Talcy surgit des brumes : 11 ans 11 mois 11 jours auparavant , 11 ' demandait déjà si le millénaire serait fatal. |