Publié sur
Facebook le 30 juin 2019 Pour échapper à la marmite toulousaine et sa lassitude, sa platitude et sa foultitude, j'ai eu la latitude, l'aptitude et l'attitude de prendre de l'altitude et de trouver un peu de zénitude, de béatitude et de plénitude avec une touche de solitude… vers les étangs du Carlit … rafraîchissant !!! Gentiana pyrenaicum subsp. pyrenaicum qui n'est pas seulement dans ce massif Erigeron uniflorus subsp. aragonensis une petite astéracées des plus locales Viscaria alpina , le Silène de Suède retrouve-t-il l les conditions boréale, sans doute car cette espèce rare se rencontre sur les pelouses au dessus de 2200 m seulement Antennaria dioica : la Pied-de-chat, une petite astéracée que j'aime particulièrement L'un des innombrables petits étangs qui parsèment la vallée sud du Carlit Gentiana verna Sedum alpestre Veronica fruticans , la Véronique buissonnante Geranium nodosum , le Géranium noueux Primula farinosa Ajuga pyramidalis : le Bugle pyramidal La Belle Dame : plusieurs centaines passaient sur un col certainement en pleine migration vers des contrées plus fraîches Pinguicula grandiflora : la Grassette à grande fleur ... une dévoreuse de petits insectes Pas si solitaire que cela ! puisque Marguerite m'accompagna un moment , ici au bain, bien sûr ce n'est pas du Tamara de Lempicka, rencontrée avec les amis au Ritz dans les années 70 n'est ce pas Pattie Davidson que j'embrasse au passage ! Zygaena minos : le Zigène diaphane manquait dans ma collection rouge et noire Primula intégrifolia : la Primevère à feulles entières Gentiana acaulis la Gentiane de Koch peut être la plus resplendissante du genre le Néouvielle |
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