Publié sur
Facebook le 21 juillet 2019 De l’eau ! de l’eau ! ce cri résonne dans nos campagnes asséchées Ô désespoir, pour conjurer ce manque d’eau, si nous allions nous tremper dans une cascade d’ « o » Finissez votre apéro pour une compo tout en « o » : c’est pas trop intello plutôt folklo une impro autour de l’« o » écolo ou néo catho soyons démago : un socialo maso en pédalo, c’est schizo ou parano ? Branchez le ventilo mes cocos, je suis un affreux jojo, un vilain toto jouant au yoyo avec votre bobo d’éco po en vélo sortant du dojo en kimono, vous prenant pour des gogos sortis à peine du dodo. Directo sorti du dico cet édito n’a pas de blanco pour votre véto de proprio, phallo ou nympho, gynéco ou dermato, sado ou scato, facho ou gaucho , clodo ou bobo, intello ou rigolo, ce mercato du tout en « o » n’a pas le brio perso pour une impro sans péno même accro à l’héro ou pire alcoolo. Tchao à la météo je pars en balnéo !! Tout çà pour vous faire réfléchir sur le problème de l’eau, on peut dire que je n’ai pas eu peur de me mouiller avec ma nouvelle histoire d’ « o » L’eau nous est si familière , un robinet que l’on tourne et la voici qui s’écoule dans sa limpidité, simple et fluide. L’élément fondamental qui a permis la vie peut-être plus que l’air puisqu' on découvre de plus en plus du vivant jusqu'aux profondeurs des océans Cette familiarité de l’eau étrangement on la retrouve donc dans notre vocabulaire avec le son « o » qui finit pas mal de mots rentrés peu à peu dans le vocabulaire courant ce qui m’a permis ce petit essai d’apocopes. |
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