Le voyage de corréziens en Grèce, résumé en 100 images.
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Le théâtre de Dionysos est le plus important des théâtres de la Grèce antique,
considéré comme le berceau du théâtre grec antique et de la tragédie.
 Il est situé sur le versant sud de l'acropole d'Athènes.

   


   



Cariatides de l'Érechthéion. 


           




L'Acropole

Après la bataille de Marathon en - 491 et la bataille de Salamine en - 480 qui marquent la défaite finale des Perses,
 le début de l'époque classique au Ve siècle et l'apogée de la Grèce antique, les chefs de la Cité-État d'Athènes
 Thémistocle (- 525 / - 460) et Cimon (vers - 510 /
vers - 450) font reconstruire les murs, font ériger
une statue d'Athéna Niké (la victorieuse), sculptée par Phidias (
vers - 490 / vers - 430) dans les années - 450.
Périclès (
vers - 495 / vers - 429) confia à Phidias le soin de superviser son projet de reconstruction de l'Acropole.
Il fait construire entre - 449 et - 431 le Parthénon ( photo du dessous), suivi des Propylées,
du temple d'Athéna « la victorieuse » et de l'Érechthéion ( photo du dessus).




         









Le Parthénon — en grec ancien Παρθενών  (de παρθένος, nom féminin, « jeune fille ») littéralement
« l'appartement des jeunes filles »,  avec justement
au premier plan deux représentantes réjouies de leur résidence.
En fait « la demeure d'Athéna Parthenos »
Le Parthénon est consacré à la déesse Athéna, protectrice de la cité et déesse de la guerre et de la sagesse.
 Il a été conçu pour abriter la statue chryséléphantine de la déesse, œuvre de Phidias.






 Voici tirée du Web, une photo de la copie d'Athéna Parthénos qui trône à Nashville ( Tennessee ),
ville célèbre également pour son King.


Les descriptions parlent d'une statue chryséléphantine (d'or et d'ivoire), réalisée par Phidias
 à l'intérieur du Parthénon, de 12 m de hauteur, composée d'une structure de bois sur laquelle étaient
 fixées des plaques d'ivoire. Ce matériau fragile et sujet à dessiccation était entretenu à l'aide d'une eau
 huilée qu'on laissait à disposition dans un bassin, au pied de la statue. La couche d'huile laissait une pellicule
 protectrice empêchant l'évaporation et donnant un lustre à l'ivoire.

Il existe plusieurs copies en marbre de cette statue : Athéna est figurée en armes, portant un casque
et un bouclier orné d'une scène de combat contre les Amazones. Périclès et Phidias y auraient été inclus en tant
que personnages, ce qui, pour l'époque, a pu passer pour scandaleux, l'art religieux devant rester
 anonyme et ne pas glorifier ses auteurs.









L’Olympiéion  au centre de la photo (grec ancien : Ὀλυμπιεῖον), ou temple de Zeus olympien,
est situé au pied de l’Acropole d’Athènes.
 C’est un temple très vaste, d’ordre corinthien, dont il reste aujourd’hui 15 colonnes.
Sa construction débuta au VIe siècle av. J.-C., et fut achevée par Hadrien en 131.

Au milieu d'une partie boisée, le stade panathénaïque (en grec moderne : Παναθηναϊκό Στάδιο /
 Panathinaïkó stádio, « stade de tous les Athéniens ») est un stade antique d’Athènes, d’abord grec puis romain (Hadrien),
 rénové pour les premiers jeux Olympiques de l’ère moderne, en 1896.
Construit en marbre, son nom usuel en grec est Kallimármaro (Καλλιμάρμαρο, « d’un beau marbre »).


 

     




Le Parthénon : oui ou non , l'objet de tous les clichés.


 




Les Propylées sont de très belles entrées monumentales de l'acropole d'Athènes.
Les Propylées comprenaient un bâtiment central, vaste vestibule de forme rectangulaire, et deux ailes latérales.
 Parmi les cinq portes de la partie centrale, celle du milieu donnait accès
à la Voie sacrée que suivaient les processions des Panathénées.






Plein feu sur notre organisatrice à gauche, descendant propyleusement du Parthénon.

 




La forme du musée de l'Acropole sur pilotis a permis de conserver et de présenter
une partie des ruines antiques qui se trouvent sur le site.
 Une partie du quartier de la ville des IVe siècle au VIIe siècle  est ainsi visible.
La montée vers le premier étage présente divers objets venant des sanctuaires qui se trouvaient sur et autour de l'Acropole.
Le premier étage en montant est consacré aux périodes mycénienne, géométrique, archaïque  et sévère.
Le troisième étage est intégralement réservé au Parthénon.
 Il est organisé en rectangle, sur le modèle du temple. Ainsi, les métopes, frise et frontons sont visibles par le visiteur
 exactement comme ils étaient à l'origine.



 




L’Olympiéion.



 


Dans les jardins du Parlement, celle belle grappe de fleurs exotiques dont j'ai oublié le nom.



 



 





Némée est célèbre dans la mythologie grecque pour être le lieu du lion tué par Héraclès,
ainsi que l'endroit de la métamorphose d'Io (qui nous quitte pas) en vache.
Les Jeux néméens s'y sont tenus depuis 573 av. J.-C., dans le sanctuaire de Zeus.
Les vestiges d'un temple du VIe siècle av. J.-C. ont été découverts avec un autel,
 une palestre et un gymnase. Le stade a été récemment dégagé, à 500 mètres au sud-est du temple..


 





Les chiens grecs sont libres et intelligents : certains règlent la circulation et savent aboyer s'il le faut ,
d'autres sont des compagnons éphémères pour vos promenades,
enfin certains font des études archéologiques en reniflant l'air du passé.



 




Voici l'Hespérie de l'alcée ( = Carcharodus alceae), commun ici en Grèce comme dans notre pays,
appartenant à la famille des Hespéridés qui nous ramène immanquablement à ce jardin d'agrumes.

Dans la mythologie grecque, les Hespérides  sont les nymphes du Couchant, filles d'Atlas et d'Hespéris
(ou de Nyx (la Nuit), ou de Phorcys et Céto selon les versions).
On en compte traditionnellement trois (les noms varient, mais ceux qui reviennent le plus souvent sont Aéglé, Érythie et Hespérie).
 Elles résident dans un verger fabuleux, le jardin des Hespérides, situé à la limite occidentale du monde
(probablement à l'actuel emplacement de la région se situant entre Tanger et Larache au Maroc )
Héra leur avait donné pour tâche de veiller sur les pommes d'or du jardin des Hespérides qu'elle leur avait confiées,
 et leur avait pour cela adjoint l'aide du dragon Ladon.
Eglé est une des Hespérides selon certaines traditions elle est la mère des charites qu'elle aurait eu avec Hélios.
Sujet d'étonnement, ce fut également le nom d'une sœur ainée que je n'ai jamais connue.
Par extension, les agrumes sont parfois appelés "hespérides" en référence aux travaux d'Hercule et
à sa mission de cueillir les pommes d'or du jardin des Hespérides, gardées par le dieu Atlas...


   




Le stade de Némée.



   




A chaque passage obligé de notre car au dessus du canal de Corinthe, un petit arrêt pour entrevoir les vaisseaux
partant peut-être pour des destinations lointaines où court notre imagination.
 



 




Des mains s'agitent pour saluer le voyageur solitaire qui vogue vers son horizon inconnu.


 




Dans l'entrée du " petitfrance " vont se succéder des au revoir.
C'est l'heure de mettre les voiles mais pas sur l'Aphrodite du mur.


 

     


Dina (Christina) et son mari Pierre, d'origine corrézienne nous ont réservé le meilleur accueil.
Merci à tous les deux pour votre disponibilité et l'attention donnée à chacun.



 




Le pont Rion-Antirion (en grec Γέφυρα Ρίου-Αντιρρίου), également dénommé pont Charilaos Trikoupis et surnommé
 pont de Poséidon ou le pont des Français, est un pont à haubans qui relie le Péloponnèse à la Grèce continentale
 entre les deux villes de Rion et Antirion , près de Patras.
D'une longueur totale de 2 883 mètres, le franchissement est composé d'un pont principal multi-haubané
d'une longueur de 2 252 mètres encadré de deux viaducs d'accès.







La cadette et l'ainée du groupe des voyageurs sur le quai du retour.



 




Derrière les grilles du port, un autre monde pathétique attend son heure en
 espérant un 
opportuniste embarquement vers un avenir qu'ils rêvent meilleur.


 




Pa(ta)tras. Départ 
 




Sur le pont du retour, nous laisserons derrière nous qu'un éphémère sillage et quelques souvenirs.

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FIN DE L'ESCAPADE GRECQUE


Remerciements aux personnes qui ont organisé ce voyage vers des racines qui sont par exemple si présentes encore
dans la taximonie naturaliste qui m'est chère, remerciements au centre culturel de Varetz et sa présidente Eliette
qui ont su s'engager pour nous faire décrocher un moment de la verte Corrèze
 et nous réserver la part d'imprévu pour pimenter les souvenirs.

Remerciement  à Annie et Bernard de m'avoir rapidement indiqué les bévues orthographiques de la première diffusion
 du document présenté et permettre ainsi de restituer celui-ci dans une langue que j'espère maintenant plus conforme.

Dominique Gaudefroy, président de l'association naturaliste " le Jardin sauvage du riant Portail "
WM de Corrézitude, le 22 octobre 2010.
   
 

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